« L’Unité relationnelle »

Rencontre avec le pape Tawadros

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Pour commencer cet article sur « l’unité relationnelle », j’aimerais partager une petite expérience. [1]  Il y a cinq ans, j’ai visité le patriarche de l’Église orthodoxe copte, au Caire, le pape Tawadros, avec une délégation œcuménique, composée de membres du mouvement des Focolari et de l’initiative JC2033 (dont je parlerai plus bas).[2]

A un moment, Tawadros a brandi sa croix copte qu’il tient toujours dans une main pour nous expliquer le sens de l’unité chrétienne. La branche du bas de la croix représente les relations ; elle est la plus longue, donc la plus importante. La deuxième représente les études, la troisième le dialogue et la quatrième la prière.

« C’est seulement en tenant ensemble ces quatre branches que nous atteindrons le cœur de Jésus et expérimenterons l’unité de tous les chrétiens. On a commis l’erreur de commencer le dialogue sans construire les relations dans l’amour. Mais nous avons d’abord à construire des relations avec des membres de toutes les Églises, sans exceptions », nous a-t-il dit.

L’UNITÉ RELATIONNELLE ET LA PARABOLE DU BON SAMARITAIN

Cette année 2024, la parole biblique choisie par les Églises du Burkina Faso pour la semaine de prière pour l’unité des chrétiens a été le double commandement d’amour : « Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. Et tu aimeras ton prochain comme toi-même » (Luc 10,27).

Elle apparaît dans le dialogue entre Jésus et un homme qui veut le mettre à l’épreuve. Ce dernier lui demande : « Et qui est mon prochain ». C’est alors que Jésus lui raconte la parabole du Bon Samaritain.

A la lumière de l’action de ce Samaritain, on découvre ce qu’est l’unité relationnelle. L’Église est le lieu où :

– on ouvre les yeux sur l’autre : le Samaritain a vu l’homme blessé, contrairement au prêtre et au lévite qui ont fermé les yeux : « Il le vit »

– on se rend proche de l’autre : « il s’approcha »

– on prend soin de l’autre : « il banda ses blessures »

Si le Samaritain représente le Christ, l’auberge où l’homme blessé est amené symbolise l’Église où l’on vit l’unité relationnelle :

– on y donne ce que l’on a reçu de la grâce et de la générosité du Christ : « le Samaritain donna deux pièces d’argent à l’aubergiste ».

– on y vit de la promesse de la Parole du Christ : « Si tu dépenses quelque chose de plus, c’est moi qui te le rembourserai »

– on y attend le retour du Christ : « Quand je repasserai » 

Cette unité relationnelle est résumée par le double commandement d’amour que le légiste rappelle. Ailleurs, Jésus lui-même en fait la synthèse de toute la révélation, ce qu’exprime aussi la Règle d’or : « Faites pour les autres tout ce que vous voulez qu’ils fassent pour vous : c’est là ce qu’enseignent les livres de la loi de Moïse et des Prophètes. » (Matthieu 7,12).

Dans son enseignement, Jésus a conjoint l’amour pour Dieu et l’amour pour le prochain de manière indissociable. Ses dernières paroles sur la croix montrent que Jésus, comme « roi des Juifs » a vécu ces deux amours jusqu’au bout et de manière parfaite. Il les a vécus en tant que Messie en qui l’Esprit habitait en plénitude.

Notre expérience chrétienne nous enseigne que lorsque nous nous tournons vers lui dans la foi et la repentance, Jésus nous justifie et nous donne l’Esprit pour vivre ce double commandement, rendant possible « l’unité relationnelle ».

Ces quelques mots de Chiara Lubich le disent de manière lumineuse :

« Dans une communauté qui veut s’inspirer de l’amour que Jésus nous a enseigné, il n’y a pas de place pour les inégalités, la marginalisation, la négligence. Tant que nous verrons dans notre prochain l’étranger, celui qui trouble notre paix et perturbe nos projets, nous ne pourrons pas dire que nous aimons Dieu de tout notre cœur ».[3]

Prenons encore une comparaison tirée de la neurologie.[4] De même qu’il existe deux côtés du cerveau, il y a deux côtés dans l’Église : le côté gauche, rationnel et le côté droit, relationnel. Les deux sont importants. L’aspect rationnel concerne la droite doctrine et la droite louange de Dieu, ainsi que la bonne organisation. S’il manque les Églises sont emportés à tout vent de doctrine et s’effritent. Mais si l’aspect relationnel manque, l’Église stagne, les personnes ne se transforment pas et ne se forment pas spirituellement.

L’unité relationnelle rappelle donc l’importance du côté droit, relationnel de l’Église ! Le Seigneur, comme le prochain sont à aimer avec ces deux aspects, comme dans le double commandement d’amour : de tout notre cœur (aspect relationnel) et avec toute notre intelligence (aspect rationnel).

La racine de l’unité relationnelle est à chercher dans l’unité vécue en Dieu, entre les trois personnes de la Trinité : « Comme toi, Père, tu es en moi et que je suis en toi, qu’ils soient un en nous eux aussi. » Et comment vivent le Père et le Fils ? Toujours tournés l’un vers l’autre dans l’amour. Voici donc notre idéal le plus élevé.

Cet idéal n’est pas abstrait ; Jésus nous a révélé à travers sa vie ce que signifie être « tourné vers Dieu » (Jn 1,2). Jusqu’au bout, et surtout sur la croix, il n’a pas cessé d’aimer le Père, même quand il a eu le sentiment terrible d’éprouver son absence et son abandon. Il n’y a pas d’unité relationnelle sans un regard sur Jésus crucifié.

L’UNITÉ RELATIONNELLE ET « L’ÉCHANGE DES DONS »

L’unité de l’Église ne se réduit pas à l’unité ecclésiastique dans la doctrine, le culte et l’organisation qui est un des buts du mouvement œcuménique. Elle est avant tout spirituelle, communion de vie des personnes dans le Christ. Le mouvement œcuménique l’a compris depuis longtemps.

Par exemple, à l’aube du mouvement œcuménique moderne, Charles Henri Brent, évêque épiscopalien et président de la première conférence de Foi et Constitution, à Lausanne en 1927, écrivait : « L’unité chrétienne, qui est une chose de l’Esprit et qui est fondée sur la double loi d’amour du Christ vient d’abord et précède l’unité ecclésiale, où l’unité de culte est un sommet nécessaire ».[5]

D’autre part si l’unité ecclésiale n’est pas habitée par l’unité relationnelle, cette unité n’est qu’un « airain qui résonne ». La communion eucharistique rétablie et complète sans communion des cœurs ne sert à rien : « si je n’ai pas d’amour, je ne suis rien » ! (1 Cor 13,2)

Une des expressions de l’unité relationnelle est « l’échange des dons ». Mettre en évidence la foi commune et recevoir comme un don la manière particulière dont l’interlocuteur l’exprime et la vit, caractérise cette nouvelle approche dans le dialogue.

C’est une forme de dialogue dans lequel on s’engage à apprécier comme un don ce qui caractérise une autre Église et à le chérir. Chaque Église, chaque communauté a des dons qui peuvent enrichir les autres. Il est important de discerner et de partager les dons que Dieu a accordés à chacun. Nous pouvons apprendre et recevoir le don de l’autre.

En hébreu, le mot qui signifie « donner », « Natan », est un palindrome : il peut être lu de la même manière à l’endroit ou à l’envers. Cela nous apprend que, quel que soit le côté du don, que l’on soit celui qui donne ou celui qui reçoit, tout le monde en profite. Chaque fois que nous bénissons les autres, nous recevons également des bénédictions – et plus nous donnons, plus nous recevons.

« L’ŒCUMÉNISME DES MAINS BLESSÉES »

Sur le plan académique, l’échange des dons est formalisé par « l’œcuménisme de la réception » (« receptive ecumenism », en anglais), une expression forgée par le théologien catholique Paul Murray, de l’université de Durham en Angleterre.[6] Cette nouvelle méthode de l’œcuménisme théologique a rassemblé à ce jour plusieurs conférences internationales. En juin 2022, j’ai pu participer à la cinquième, à Sigtuna, en Suède et me suis rendu compte de la fécondité de cette nouvelle approche.[7]

Le principe essentiel qui sous-tend l’œcuménisme de la réception est que la première question à poser n’est pas « qu’est-ce que les autres traditions ont besoin d’apprendre de nous ? », mais « qu’est-ce que nous avons besoin d’apprendre d’elles ? » Si tous se posaient sérieusement cette question et agissaient en conséquence, tous évolueraient dans un sens qui approfondirait nos identités respectives authentiques et de nous entraîner dans une relation plus profonde.[8]

P. Murray a une belle image pour illustrer la tendance à paraître sous le meilleur jour possible, celui du service à thé en porcelaine. Lorsqu’on reçoit des invités, on sort son plus beau service à thé, mais on cache les tasses ébréchées de la vie quotidienne. Dans le dialogue œcuménique comme partout ailleurs, on préfère en général cacher ses blessures.

« Plutôt que l’œcuménisme du service à thé en porcelaine, l’œcuménisme de la réception représente un œcuménisme des mains blessées : il s’agit d’être prêt à montrer nos blessures les uns aux autres, en sachant que nous ne pouvons pas nous guérir ou nous sauver nous-mêmes », dit Paul Murray.[9]

Reconnaître les blessures et les manques, dans un esprit de conversion, c’était déjà la proposition du Groupe des Dombes qui invitait il y a plus de trente ans à la « Conversion des Églises ». Et il continue à utiliser cette méthode fructueuse dans ses publications ultérieures, dont la dernière vient de paraître sur la catholicité de l’Église.[10]

En effet une conversion ne se décrète pas, mais se prépare : « Une telle préparation suppose que les Églises, à tous les niveaux, s’efforcent de reconnaître leurs manques, leurs imperfections, leurs résistances par rapport à leur vocation ».[11] Entrer dans une humble démarche de conversion est l’antidote à un « œcuménisme de statu quo » ou « d’autosatisfaction » qui constitue un alibi pour figer les affirmations identitaires.[12]

TROIS EXPÉRIENCES D’UNITÉ RELATIONNELLE

J’aimerais évoquer trois expériences qui permettent d’approfondir l’unité relationnelle entre chrétiens. J’y participe depuis quelques années et vous les présenterai par ordre de création. Il s’agit du Forum chrétien mondial, d’Ensemble pour l’Europe et de JC2033

  • Le Forum chrétien mondial

    L’origine du Forum chrétien mondial se trouve dans le désir du Conseil Oecuménique des Églises, dans les années 90, d’ouvrir un dialogue avec les Églises de tradition évangélique et pentecôtiste qui, historiquement, n’ont pas participé au mouvement oecuménique.

    Non pas pour les convaincre de devenir membres du Conseil Oecuménique, mais dans le but de trouver une possibilité de se parler, de se rapprocher et éventuellement aussi de repérer des terrains de coopération.

    Trois rencontres mondiales ont eu lieu à ce jour (la quatrième aura lieu au Ghana en avril 2024), ainsi que des rencontres régionales. Un Forum chrétien francophone a eu lieu en 2018 et un Forum en Suisse romande en 2021, deux moments fort de la vie œcuménique, auxquels j’ai eu la grande joie de participer.[13]

    Le cœur d’un Forum chrétien est le partage des « itinéraires de foi ». Ce sont des échanges très personnels et limités dans le temps – en général on donne sept minutes à chaque participant.

    Avec nos propres mots, on partage avec les autres participants dans des petits groupes de huit à dix personnes, notre cheminement dans la foi chrétienne, en Christ, qui est le centre même de notre foi, malgré toutes nos différences qui peuvent exister du point de vue confessionnel.

    Cette démarche nous a permis de trouver un terrain commun à partir duquel on peut commencer à bâtir des relations faites de confiance et de reconnaissance mutuelles, tout en admettant qu’il y a des différences du point de vue théologique, doctrinal, etc., qui nous séparent. Ce partage de notre chemin de foi construit « l’unité relationnelle ».

    • Ensemble pour l’Europe

    Ensemble pour l’Europe est une convergence de communautés et de mouvements chrétiens de différentes Églises.[14] Ce réseau créé en 1999 rassemble quelque 300 Communautés et mouvements.

    En Suisse, de nombreux mouvements, communautés et communautés chrétiennes font partie du réseau appelé « En chemin ensemble »,[15] comme dans les autres pays européens.[16] Tout en gardant leur autonomie, ils collaborent à des objectifs communs, en apportant la contribution de leur charisme propre. Ils établissent entre eux des relations de communion dans le respect des différences. Cette réalité est née d’expériences fortes vécues ensemble, par exemple, des grands rassemblements.

    Ensemble pour l’Europe veut avant tout témoigner de Jésus-Christ et désire répondre à l’exigence d’une « culture de la réciprocité ». Grâce à celle-ci les personnes peuvent s’accueillir mutuellement, se connaître, se réconcilier, apprendre à se soutenir réciproquement.

    L’objectif n’est pas une unité organisationnelle, mais une communion vécue à partir de la richesse des différents dons. Par la relation à Dieu vécue différemment, nous avons découvert l’estime mutuelle et l’amour commun pour le Christ. Cela s’exprime dans un « pacte d’amour réciproque », qui est la forme que prend l’unité relationnelle dans les rencontres d’Ensemble pour l’Europe. 

    Ce « pacte d’amour réciproque » est fondé sur le chapitre 13 de l’évangile de Jean : « Je vous donne un commandement nouveau : aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés ». Ce pacte est une réponse à ce commandement nouveau que le Christ a donné et surtout vécu totalement jusqu’au don de sa vie, jusqu’à l’abandon.

    Jésus, nous disons oui à ton commandement et aujourd’hui, nous voulons renouveler notre pacte d’amour réciproque. Aimons-nous les uns les autres comme tu nous as aimés. Nous te demandons que l’Esprit saint renforce notre amour et que tu sois au milieu de nous, comme tu l’as promis. Œuvre en nous et à travers nous quand nous travaillons ensemble pour ton royaume. (Le « Pacte d’amour mutuel »)
    • JC2033

    Depuis quelques années, je collabore à l’initiative JC2033 qui propose un chemin d’unité et de témoignage vers les célébrations des 2000 ans de la résurrection de Jésus-Christ en 2033.[17]

    Une petite équipe interconfessionnelle a visité les responsables des Communions d’Églises et des missions chrétiennes dans 50 pays. La grande majorité accueille positivement l’idée de faire de grandes choses en commun, à l’occasion de ce bimillénaire et de sa préparation.

    Dans tous ces pays, environ 150 ambassadeurs travaillent pour faire connaître cette démarche en rassemblant les chrétiens.

    L’Église catholique a organisé le premier « Jubilé de la Rédemption » lors de l’« Année sainte 1933 », puis en 1983.  Elle organisera probablement, en 2033, un programme mondial, comme pour l’année 2000.

    Pouvons-nous saisir l’occasion d’organiser le Jubilé de 2033 ensemble, de manière œcuménique, dans nos villes, dans nos pays et dans le monde entier ? Ce serait merveilleux d’avoir un Jubilé œcuménique !  Notre unité dans le témoignage et la célébration serait un magnifique cadeau à offrir à Jésus !

    Chaque année jusqu’en 2033, nous organisons une marche œcuménique sur le Chemin d’Emmaüs en Terre sainte, avec des visites des communautés en cours de route. Nous en avons déjà fait l’expérience à trois reprises. C’est une très belle expérience. Bienvenue si vous voulez marcher avec nous !

    Nous aimons ces deux devises du Pape François : « Marcher, prier, travailler ensemble ».[18] Et « L’unité se fait en chemin ». C’est en marchant ensemble que nous suscitons l’unité relationnelle ! De même, le Conseil œcuménique des Églises met l’accent sur l’image du chemin, en invitant à un « pèlerinage de réconciliation et d’unité ».

    Dans cet esprit, nous invitons à un chemin d’unité pour témoigner du Christ et le célébrer en 2033… comme jamais auparavant !

    JC2033 n’est pas seulement la commémoration d’un anniversaire, un jubilé, mais une invitation à se centrer sur le Christ ressuscité, vivant au milieu de nous. En lui donnant la première place parmi nous, nous sommes conduits à être beaucoup plus attentifs à nos relations les uns avec les autres. Et c’est Lui qui ouvre nos cœurs les uns aux autres et nous donne l’élan pour le célébrer.

    CONCLUSION

    Si Jésus, le ressuscité, nous rencontre dans sa Parole, les sacrements et les personnes dans le besoin, il nous rencontre aussi, avec une intensité particulière, dans nos relations. Comme il le dit lui-même : « Là où deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis au milieu d’eux ». (Matthieu 18,20)

    Jésus habite nos relations, si nous le laissons faire. Il souhaite non seulement que nous nous entendions bien les uns avec les autres, mais encore que nous nous aimions avec la qualité de son amour, que nous nous aimions les uns les autres comme il nous a aimés.

    Il est triste de constater que nous avons brisé le corps du Christ, non seulement à cause de nos défaillances structurelles et théologiques, mais aussi, et c’est peut-être encore plus grave, à cause de nos relations défaillantes. 

    Une Église brisée et divisée prive le monde du don auquel il aspire tant. Le rétablissement de ce don est l’œuvre de l’oecuménisme.

    L’unité relationnelle désire contribuer à ce que le Ressuscité vive de plus en plus en nous et au milieu de nous. Qu’il témoigne lui-même de sa résurrection dans notre vie quotidienne et dans nos relations ! Et c’est lui qui recoud sa tunique déchirée !


    [1] Cet article publié dans la Revue Unité et Charisme (2024/2, p. 13-17) est le fruit d’une conférence préparée pour la semaine de prière pour l’unité des chrétiens en janvier 2024. Martin Hoegger est pasteur de l’Église évangélique réformée du Canton de Vaud. Il collabore à plusieurs projets œcuméniques. Il est aussi membre du groupe de théologie œcuménique de l’École Abba du mouvement des Focolari.www.hoegger.org

    [2] Voir : https://jc2033.org/fr/news/blog/283-construisons-les-relations-rencontre-avec-le-pape-tawadros-chef-de-l-eglise-orthodoxe-copte

    [3] Chiara Lubich, Un nouvel art d’aimer, Nouvelle Cité 2006, p. 53.

    [4] Voir Jim Wilder & Michel Hendricks, The other half of church: Christian community, brain science, and overcoming spiritual stagnation. Chicago, Moody Publishers, 2020

    [5] Things that matter, Harper & Row, New York, 1949, p. 41. Cf Martin Hoegger, « Pratique de l’unité chez Charles Henry Brent. A l’aube d’une spiritualité œcuménique ». Hokhma 2011/1

    [6] Cf. P. Murray (ed.) Receptive Ecumenism and the Call to Catholic Learning, Oxford University Press, Oxford, 2008.

    [7] Fifth International Conference On Receptive Ecumenism. Transforming Ecumenism – « Listen To What The Spirit Is Saying to the Churches ».

    [8] Le site du Centre d’études catholiques de l’université de Durham donne une présentation détaillée de l’œcuménisme de la réception et des projets actuels. https://www.durham.ac.uk/research/institutes-and-centres/catholic-studies/research/constructive-catholic-theology-/receptive-ecumenism-/

    [9] Paul D. Murray, Introduction à l’œcuménisme réceptif (Receptive Ecumenism). Lumen Vitae 2022/4 (Volume LXXVII), p 371.

    [10] « De toutes les nations … » Pour la catholicité des Églises. Éd. du Cerf, coll. « Patrimoines », 2, 2023

    [11]  Groupe des Dombes, « Un seul Maître ». L’autorité doctrinale dans l’Église. Bayard, Paris, 2005, p. 198

    [12] Groupe des Dombes, « Vous donc, priez ainsi ». Le Notre Père, itinéraire pour la conversion des Églises, Bayard, Paris, 2011, p. 148

    [13] Les Actes du Forum chrétien francophone sont à consulter ici : https://forumchretien.fr/1er-forum-chretien-francophone Pour les Actes du Forum chrétien romand, voir : « En Chemin d’Unité » – Les Actes du Forum chrétien romand. Éditions UNIxtus, Le Mont sur Lausanne, 2022. Voir aussi le site du Forum chrétien romand : https://romandie.forumchretien.org

    [14] https://together4europe.org/fr/ Voir aussi Gérard Testard, Quelle âme pour l’Europe. 250 communautés et mouvements chrétiens Ensemble pour l’Europe. Nouvelle Cité, Bruyères-le-Chatel, 2012.

    [15] Voir le site https://www.en-chemin-ensemble.org/

    [16] Pour le site de la France, voir https://www.ensemblepourleurope.fr/

    [17] https://www.jc2033.world/fr/ Cf. aussi Olivier Fleury, Alors le monde saura. Célébrer les 2000 ans de la résurrection de Jésus-Christ. Saint Prex, JC20233, 2021.

    [18] Discours du Saint Père au Conseil Œcuménique des Églises, 21 juin 2018. Sur le site https://www.vatican.va


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