Chiara Lubich n’a pas abordé directement la question de l’écologie dans le « Paradis de 1949 », son texte le plus important, dont la plus grande partie n’est pas encore publiée et qui fait l’objet de l’étude de « l’école Abba ». Cependant toute sa pensée donne une forte motivation pour s’engager à une autre relation avec la nature.
Le but de ces pages est d’étudier le sens de la nature dans ce texte mystique dont l’interprétation n’est pas aisée. Voici les quelques points que je traiterai :
- Un autre regard sur la nature
- La vie de la Parole et la nature
- La présence de Dieu sous toutes choses
- La création, un unique chant d’amour
- Tout dans la création est en relation d’amour : la fraternité universelle
- Le commandement nouveau dans la nature
- La présence de Dieu dans la nature
- Voir dans la nature « la surnature », la « nature de la nature ».
- La création, comme des rayons sortant du sein du Père
- L’être humain, récapitulation de la création
- La transformation de la nature
- L’incarnation de Jésus et la nature
- La « divinisation » de la nature : l’incréé et le créé s’épousent
- Anticipation de la nouvelle création
- La souffrance et la rédemption de la nature
- La nature vidée de Dieu : l’enfer et la nuit obscure
- Jésus abandonné, mort aussi pour la nature
- Jésus ressuscité au milieu de la nature
- L’univers existera pour l’éternité
- La vision écologique de Chiara